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La sortie de A Quiet Place Part. II approche et la promotion s’intensifie. Emily fait la couverture du magazine Marie Claire du mois de mars 2020. Retrouvez dans la galerie les scans du magazine, ainsi que les premiers clichés du photoshoot.










Emily a réalisé une interview POP QUIZZ avec le magazine. Vous pouvez voir la vidéo ci dessous.

Emily Blunt fait la couverture de l’édition britannique du magazine Harper’s Bazaar du mois de mars 2020 avec de toutes nouvelles photos signé Pamela Hanson. Je vous propose de retrouvez dans la galerie les scans du magazine, ainsi que les photos issue du shooting.










Je vous propose également de voir la vidéo behind the scene du shooting photo.




C’est la toute première fois qu’Emily fait la couverture du prestigieux magazine Vogue US. L’actrice est mise à l’honneur dans l’édition de décembre 2018 à travers un photoshoot inspiré de l’univers de son prochain film, Mary Poppins Returns. Elle est accompagné par sa co-star dans le film Lin Manuel Miranda sur ses clichés pris par Annie Leibovitz.












Retrouvez également une vidéo d’Emily répondant à l’interview en 73 questions, filmé dans l’esprit du film qui la révélé au grand public Le Diable s’habille en Prada. Les fans du film retrouverons beaucoup de clins d’oeil dans cette interview.


Emily fait la couverture du magazine Variety du mois d’avril 2018, pour une édition Power of Women.












Deux articles/interviews ont été publiées sur le site de Variety. Une interview concernant ses projets professionnels et notamment A Quiet Place et Mary Poppins Returns et un article sur son implication dans la fondation de Malala Yousafzai. La traduction de cet article est disponible ci dessous. Celle de l’interview arrivera la semaine prochaine. Bonne lecture.
Emily Blunt s’investit pour Malala Fund afin de donner une chance à toutes les filles d’avoir accès à l’éducation.
Malala Yousafzai est une icône de l’émancipation des femmes. La plus jeune lauréate du prix Nobel, l’activiste pakistanaise de 20 ans a inspiré le monde avec ses croyances tenaces concernant le pouvoir de l’éducation. C’est une conviction tellement forte, qu’elle a risqué sa vie pour aller à l’école dans une zone dominée par les talibans, qu’elle a raconté ses expériences et a donné des interviews. En retour on a tenté de l’assassiner en lui tirant dessus en 2012.
Emily Blunt dit que sous le personnage d’acier qu’est Malala Yousafzai, bat le cœur d’une adolescente.
« Les gens sont intimidés par elle », dit Emily Blunt. « Ils ne se sentent pas dignes. Et pourtant il y a une telle normalité en elle. Elle est douce et subversive et brillante, mais en même temps il y a ce coté d’elle qui adore les chaussures et les habits. »
Emily Blunt, actrice des films tels que Sicario et Into the Woods, avec son époux, John Krasinski, connu pour The Office, ne sont pas que des admirateurs de Malala Yousafzai, qui s’est complètement remise de la tentative d’assassinat dont elle était la cible et qui est maintenant reconnue comme l’avocate mondiale de l’éducation. Ils usent de leur célébrité pour attirer l’attention sur sa cause et pour récolter des fonds pour la fondation Malala, l’organisation à but non lucratif qu’elle a créé en 2013 avec son père Ziauddin. La fondation espère donné aux filles à travers le monde la capacité d’avoir une éducation pendant 12 ans – et que la scolarité soit gratuite, sûre et de bonne qualité.
Ce problème est cher à Emily Blunt et John Krasinski, parents de deux filles âgées de 4 et 2 ans et ont cherché à être impliqué dans une fondation qui promeut l’éducation et les problèmes des femmes.
« Dès la première fois ou je l’ai rencontrée, j’ai su qu’Emily serait une bonne amie pour moi mais aussi pour toutes les filles qui se battent pour leur éducation, » dit Malala Yousafzai. « Je suis très reconnaissante de sa capacité à voir les visages de millions de filles dans ses propres filles. »
Jusque là, Emily Blunt et John Krasinski ont récolté de l’argent pour la fondation avec une vente aux enchères d’un rendez-vous avec eux à l’avant première New Yorkaise de leur film A Quiet Place. Pendant l’automne, le couple espère visiter la Colombie ou l’Inde pour voir le travail de Malala sur le terrain. Ce sont de nouvelles régions qui bénéficient de l’organisation. Jusqu’à maintenant elle se concentrait sur le soutien aux éducateurs dans les endroits ou il est difficile pour les filles d’aller à l’école, comme l’Afghanistan, le Nigéria, le Pakistan et les pays qui accueillent des réfugiés Syriens.
Emily Blunt a eu des retours du travail effectué sur le terrain par Malala.
« Quand Malala se rend sur place c’est très excitant parce que les femmes sont les premières dans la foule, » dit l’actrice. « Elles vous disent comment elles s’organisent. Elles vous disent ce qu’il se passe. Et nous découvrons dans ce climat dans lequel nous vivons, que quand on donne une voix aux femmes, elles l’utilisent. »


Emily fait la couverture du magasine Entertainment Weekly dans la peau de Mary Poppins! Entertainement Weekly a pu se rendre sur le tournage pour nous permettre de découvrir un premier aperçu du film dont la sortie est prévue pour dans plus d’un an et demi. Le tournage du film s’est terminé à Londres il y a quelques jours.


Ce n’est pas un secret que toutes les nounous sont comparés à une seule autre, doyenne de la discipline qui a volé jusqu’à nous en 1964. Le personnage emblématique est resté ancré dans le cœur des cinéphiles pendant des décennies depuis ses débuts au cinéma – et elle est maintenant de retour.
Mary Poppins Returns de Disney (au cinéma à Noël 2018) est probablement l’une des suites les plus importantes jamais tentée, plus d’un demi siècle après que le classique de Walt Disney ait immortalisé les carrières de Julie Andrews & Dick Van Dyke, brisé des records, ait décroché un mot dans le dictionnaire (devinez lequel) et devienne l’un des films les plus appréciés de tout les temps. Se déroulant en 1910, le film original, basé sur les deux premiers volumes de la saga en huit tome de P.L Travers, raconte comment Mary Poppins a réuni un père absent et ses deux enfants espiègles avec sa magie singulière et énigmatique. Mais il y a six autres livres écrit par Travers avec plus de personnages et d’histoires, attendant d’être adapté un jour au cinéma.
Mary Poppins Returns, réalisé par Rob Marshall (Into the Woods), reprend 25 ans après les événements du premier film, nous plongeant dans la crise économique qu’a connu Londres dans les années 1930, l’époque réelle des livres de Travers. Le numéro 17 de Cherry Tree Lane est devenue le foyer chaleureux et aimant que le banquier et artiste Michael Banks (Ben Whishaw) partage avec sa femme et ses trois enfants. Mais quant la femme de Michael décède, la famille Banks est brisé – même l’enthousiaste tante Jane (Emily Mortimer), fervente organisatrice syndicale et Ellen (Julie Walters), la femme de ménage de longue-date, n’arrivent pas à dissiper les esprits – et à ce moment là, la maison est à la limite de la saisie.
C’est le signal de l’arrivée de l’étrange et guindé Mary Poppins (Emily Blunt), qui va mené les enfants de Michael (ainsi que Jane et Michael eux même) dans une série d’aventures incroyables -du haut de Big Ben, au fond de l’océan, à la rencontre d’un monde magique avec des pingouins qui dansent et des cousines sans dessus dessous (hey, Meryl Streep!). Si quelqu’un peux aider cette famille a retrouver la lumière qu’ils ont perdu c’est bien Mary Poppins.
En rivalité avec cinq décennies d’héritage presque parfaite, les cinéastes de la suite ont décidé d’être aussi fidèle que possible au personnage emblématique original, tout en créant une nouvelle comédie musicale familiale. « La barre est si haute » dit Marshall, réalisateur de Chicago, récompensé aux Oscars. « Mais pour pouvoir marcher dans les pas de cette belle histoire sur une femme qui amène de la magie à cette famille qui cherche des merveilles et de la joie dans leur vie … je ressens une grande responsabilité. Nous le ressentons tous ainsi. Nous faisons tout ce que nous pouvons avec les meilleures intentions. »
C’est un sentiment également évoqué par le casting, amoureux de longue date de Mary Poppins, comme Emily Blunt (qui avait l’approbation de Julie Andrews bien avant que le tournage ne commence) & Lin-Manuel Miranda (qui incarne l’ami de Mary, Jack, un séduisant allumeur de réverbères et ancien apprenti de du célèbre ramoneur Bert, incarné par Dick Van Dyke). Et même les départements créatifs abondent de personnes qui connaissent tout les enjeux et veulent faire les choses bien : récompensés aux Tony Awards, les compositeurs Marc Shaiman & Scott Wittman (Hairspray) ont écrit des musiques qui semble absolument Poppins-esque, alors que la costumière Sandy Powell et son équipe travaillent afin de faire apparaître le look emblématique de Mary et de la famille Banks dans les élégantes années 1930.
Entertainement Weekly était sur le tournage londonien plus tôt cette année et est revenue avec un sac sans fin plein de goodies à propos de la suite. De la superbe re-création de Cherry Tree Lane aux studios Shepperton, aux rues du vieux Londres ou Jack allume les réverbères, le tournage de Mary Poppins Returns est une véritable air de jeux ou l’esprit de Mary est manifestement présent. Tout comme Dick Van Dyke, tournant un caméo top secret – non, pas en tant que Bert – un jour avant la visite d’Entertainement Weekly. « Dick Van Dyke a dit que la chose dont il se souvient le plus pendant le tournage du premier film était l’esprit, et il a dit « C’est exactement le même esprit ici » révèle Marshall, debout sur les pavés ensoleillé du numéro 17. « Il était juste là sur Cherry Tree Lane et a dit « Je me sens comme chez moi. »
Source : Marc Snetiker pour Entertainment Weekly
Traduction : Emily Blunt Daily © Creditez pour tout emprunt. Merci.